Philippe Barrau magnétiseur, coupeur de feu, thérapeute psycho-énergétique à Saint Rémy de Provence
Également appelé barreur, panseur, leveur ou conjureur de feu, couper le feu est la compétence première d’un magnétiseur.
Le coupeur de feu vient soulager :
• les peaux ébouillantées, rougies et cloquées et élimine la douleur intense des brûlures.
• Les brûlures provoquées par la radiothérapie ou par la chimiothérapie
• les zonas
• le psoriasis
• l’eczéma
Attention, couper le feu ne fait pas « disparaître » comme par magie la brûlure.
Couper le feu élimine la plupart du temps la douleur, permet une bien meilleure et beaucoup plus rapide cicatrisation
Désormais, de nombreux hôpitaux collaborent ouvertement avec des coupeurs de feu : des services de grands brûlés ou des services de radiothérapie pour le traitement des cancers
Jocelin Morisson, journaliste scientifique, auteur et traducteur note à ce sujet : « Au nom du pragmatisme, de nombreux hôpitaux collaborent avec des coupeurs de feu, que ce soit dans les services de prise en charge des brûlures ou les services de radiothérapie pour le traitement des cancers. Des soignants, médecins, infirmières et même chefs de service en parlent ouvertement dans les médias. ».
Le docteur Nicolas Perret, a consacré sa thèse de Médecine (soutenue en décembre 2009) à « La place des coupeurs de feu dans la prise en charge ambulatoire et hospitalière des brûlures en Haute-Savoie ».
Certes, les mécanismes restent incompris par la science mais l’effet est démontré, au point que 63 % des soignants interrogés par Nicolas Perret en milieu hospitalier estiment que l’efficacité des coupeurs de feu est « forte », 7,5 % estiment qu’elle est « totale » et 21 % qu’elle est moyenne. En conséquence, ils sont 61 % à juger la collaboration avec des coupeurs de feu « souhaitable » et 20 % « indispensable ».
Le docteur Nicolas Perret a également demandé leur avis aux médecins généralistes qui reconnaissent à 65 % l’efficacité de ces interventions sur la douleur des brûlures.
Quant aux patients ainsi traités, ils sont 76 % à attribuer une note supérieure ou égale à 7 sur 10 à l’intervention des coupeurs de feu.
Le Docteur Danielle Tavernier ¹ est responsable du service des urgences dans un hôpital du Léman. Il y a 20 ans, elle n’accordait aucun crédit à la pratique des coupeurs de feu. Par un concours de circonstances, elle découvre un jour que les pompiers, mais aussi le personnel de son service font régulièrement appel, à son insu, à des coupeurs de feu.
Aujourd’hui le docteur Tavernier a complètement changé d’avis et ne croit plus au hasard ou à l’effet placebo : « Je peux vous dire qu’on voit tout de suite la différence entre une personne qui s’est faite barrer le feu ou non », confie-t-elle « le résultat est particulièrement spectaculaire chez les enfants. Sans les prévenir qu’on appelle un coupeur de feu, ils s’arrêtent de pleurer presque instantanément. Un antalgique mais 15 à 20 minutes pour agir avec une seconde dose parfois nécessaire. Avec un coupeur de feu, ça prend 30 secondes ! De plus une brûlure traitée avec l’aide coupeurs de feu évolue mieux. Au lieu qu’une phlyctène apparaisse, la peau sèche plus vite et met trois fois moins de temps à cicatriser. Cela va à l’encontre de ce que l’on apprend à la faculté, mais il faut admettre qu’il se passe quelque chose. Il faut le voir pour le croire. Je ne l’explique pas, mais je l’accepte dans l’intérêt des patients. D’ailleurs en Haute-Savoie, tous les hôpitaux font appel à des coupeurs de feu ».