Coupeur de feu
Comment est-ce qu’on coupe le feu ?
Comment est-ce qu’on est barreur de feu ?
En fait, il y a trois manières de couper le feu, trois manières de soulager quelqu’un qui est atteint d’une brûlure.
Peu importe la brûlure, ça peut être une brûlure par le feu, ça peut être une brûlure par l’acide, ça peut être une brûlure aussi comme le zona, ça peut être une brûlure comme l’eczéma, ça peut être une brûlure comme le psoriasis.
Donc, trois manières de couper le feu. (sans aucune prétention à être exhaustif)
La première qui est celle pour les magnétiseurs, d’absorber le feu, c’est-à-dire de se charger soi-même, de décharger la personne, de se charger soi-même pour aller ensuite se passer les mains sous l’eau froide.
Vous avez comme ça des magnétiseurs qui deviennent tout rouges, qui se chargent vraiment de cette chaleur, de la brûlure pour aller la relâcher.
Vous avez une deuxième manière de faire qui est celle de décharger, avec d’autres techniques, les énergies négatives de la brûlure, parce qu’on ne peut pas dire qu’une brûlure ne soit pas pleine d’énergie négative.
Il y a des techniques réellement efficaces pour décharger ces énergies négatives.
Et puis, bien sûr (et surtout), la troisième : la prière , la prière pour couper le feu. Certains vont me dire: Moi, « je crois », « je ne crois pas ». Peu importe. Moi, j’y crois, mais vous, vous n’êtes pas obligé d’y croire. Simplement, la prière pour couper le feu, c’est un égrégore.
C’est-à-dire que ça fait des centaines et des centaines d’années que des personnes disent ces prières pour soulager leur prochain, pour faire en sorte que des personnes qui ont été brûlées, des personnes qui ont été fortement atteintes par le feu puissent être soulagées.
Vous imaginez bien que ça fait une chaîne d’union au travers les siècles pour que nous nous entraidions et ça, ce n’est pas neutre !
Vous n’y croyez peut-être pas, mais je peux vous dire que la prière ou que les prières (parce qu’il y en a plusieurs), pour soulager le feu, sont extrêmement efficaces.
Autrefois, il fallait un don pour couper le feu (la brûlure) d’une personne. Mais aujourd’hui, tout le monde est capable de réaliser cette technique, quel que soit son âge, son sexe, ses croyances et sa religion. Car cette prière appartient à l’humanité toute entière.
La prière du feu ne remplace pas les traitements médicaux. Mais elle soulage les douleurs occasionnées par les brûlures et les inflammations de toutes sortes : brûlures cutanées, coups de soleil, suites de radiothérapie, arthrite, brûlures urinaires ou gastriques, tendinite, etc.
Est-ce qu’on a besoin d’avoir reçu « le don » ? Je ne crois pas. Je pense qu’actuellement, nous sommes dans une période qui n’est pas comme il y a cinq ou six siècles en arrière. Comme l’explique-le Docteur Luc Bodin l’ancien taux vibratoire de la Terre était de 6.500 UB dans les années 80 et probablement pendant les milliers (millions ?) d’années précédentes. « Les Taux Vibratoires de la Terre et de l’Humanité ont connu une évolution sans précédent depuis les années 80-90, et surtout depuis le 15 juillet 2021. Ce processus marque une nouvelle étape de l’ascension de l’ensemble de l’Univers et donc de la Terre. » (Luc Bodin)
Il y a une clé, une clé importante, faute de quoi la porte de la guérison ne s’ouvre pas, c’est l’intention, c’est la bienveillance. Est-ce que vous voulez faire du bien à votre prochain ? Est-ce que vous voulez aider ? Ou est-ce que vous voulez orner votre ego du fait de dire : « Je suis quelqu’un qui coupe le feu, etc. » ?
Ce qui m’importe, personnellement, c’est l’humilité, aider dans l’humilité, d’accompagner et de soulager mon prochain. Et vous avez pour cela de merveilleuses prières, prononcées avec foi par des femmes et des hommes depuis des centaines d’années.
Je vous partage maintenant le témoignage du docteur Danielle Tavernier, qui était à l’époque chef d’un service d’urgences en hôpital, et le docteur Martine GARDENAL, qui font part de leur expérience avec les coupeurs de feu.
Docteur Danielle Tavernier : « J’ai été affectée à cet hôpital depuis maintenant 1988. J’ai été tout de suite surprise lors d’un premier accident dans la prise en charge d’un homme qui était brûlé à 80% par l’absence de douleur que présentait celui-ci, alors que j’avais appris durant mes études que la brûlure faisait souffrir. Cet homme ne se plaignait pas d’avoir mal.
Il n’avait absolument pas mal alors qu’il a été brûlé au deuxième degré sur plus de 80% de la surface du corps. Je l’ai traité comme je traite toutes les personnes dans ce cas-là et en arrivant aux urgences, j’ai demandé à une infirmière, ‘’mais je ne comprends pas que cet homme ait pas mal’’. Et elle m’a répondu: ‘’C’est normal, il a fait appel à un barreur de feu’’. …Un barreur de feu ?
Et elle m’a expliqué qu’avant notre arrivée, il avait appelé qui lui avait coupé le feu, barré le feu, et donc cet homme ne souffrait plus.
Donc, j’ai commencé à me poser des questions sur l’efficacité réelle de ces barreurs de feu en me disant qu’il y existait quand même un phénomène surprenant.
La deuxième personne que j’avais adressée au Grand brûlé à Lyon, le service m’avait rappelé deux fois en me disant: ‘’Mais qu’est-ce que vous avez fait à cette dame ? Parce qu’on pensait la garder trois mois hospitalisée et au bout d’une semaine, elle était pratiquement guérie ‘’.
Malgré mes convictions, malgré mon éducation, malgré mes études, même en opposition avec certains de mes confrères, j’ai pris une petite manie d’appeler les barreurs de feu pour essayer de soulager.
Je continue à traiter les brûlures comme j’avais appris, mais je pensais que l’action de ces personnes pouvait soulager encore plus la douleur provoquée par les brûlures. »
Docteur Martine GARDENAL, médecin homéopathe, elle a également passé de nombreuses années au département médical de l’INSEP (Institut National du Sport, de l’Expertise et de la Performance), lieu de formation et de pratique de plus de 650 sportifs au plus haut niveau français et mondial. « Donc, les passeurs de feu, ça existe et c’est vraiment spectaculaire. Les gens qui ont des brûlures et qui sont soignés comme ça par des magnétiseurs qui savent faire passer le feu, disent très bien qu’ils sentent partir la brûlure. C’est la phrase qui revient tout le temps. Ils disent: ‘’On sent partir la brûlure’’, ‘’on sent partir le feu’’. C’est quand même assez extraordinaire. ! »
Dans ma pratique de coupeur de feu, je ne fais pas payer pour faire la coupe de feu. Vous pouvez me donner ce que vous voulez.
C’est le métier, c’est la tradition. Chaque métier a ses traditions. Moi, je ne fais pas payer pour couper le feu. Comment voulez-vous que je fasse payer quelqu’un qui est brûlé par de la radiothérapie ? Comment voulez-vous que je fasse payer quelqu’un qui est un grand brûlé et qui souffre horriblement ? C’est un peu la noblesse, ou en tout cas la dignité du métier.
Moi, je suis fier et humble, très modeste, de vous apporter de mon mieux ce que je peux en tant que coupeur de feu.