Dans cet article et cette vidéo (ci-dessous), nous abordons les éclairages et explications scientifiques concernant le magnétisme et les soins énergétiques, et notamment la question des soins à distances. Soins à distance et soins en présence, pour moi, c’est exactement la même chose. Que vous soyez là ou à 20 000 kilomètres, en magnétisme et en soins énergétiques, la distance ne compte pas.
Mais peut-on apporter une explication scientifique à ce qui se passe ?
C’est ce que nous investiguons avec le Dr Guy Londechamp, qui est médecin (il fût d’ailleurs major de sa promotion en médecine), homéopathe, écrivain et chercheur. Il a consacré une part essentielle de ses recherches aux pouvoirs thérapeutiques de l’eau, en particulier dans ses relations à l’énergie. Il a animé pendant une dizaine un groupe de recherche pluridisciplinaire comprenant des médecins, dentistes, psychiatres , ostéopathes. Il est l’auteur de « L’homme Vibratoire – Vers Une Médecine Globale »
Voici son éclairage scientifique concernant les soins à distance
On peut s’appuyer sur les travaux du Professeur Fritz Albert Popp, un physicien qui a travaillé sur la biologie cellulaire et la biologie de la lumière, dans un livre qui a été écrit aux alentours de 1980 et qui explique par une expérience relativement simple comment ces synchronisations peuvent se faire à l’échelle de nos cellules.
L’idée de départ, c’est que Fritz Albert Popp a séparé une même culture cellulaire en deux lots, une culture numéro 1 qui est dans un ballon de quartz fermé et une culture numéro 2 qui est l’autre partie de cette même culture dans un autre ballon de quartz, avec un bouchon fermé.
L’expérience numéro 1, c’est qu’il va induire la mort de cette culture cellulaire numéro 1 par des radiations ionisantes, des rayons X.
Et juste avant que ces cellules ne meurent, elles émettent un signal particulier. C’est comme s’ils libéraient toute l’information avant de mourir. Cette libération d’information, Fritz Albert Popp l’a appelé un « chant du cygne ».
Ce chant du cygne, qui témoigne de la mort de cette culture cellulaire par l’action des rayons X, va être transféré à la culture 2, qui va se mettre à émettre le même signal et qui va mourir avec les mêmes modalités que la culture numéro 1, sans avoir été exposée aux rayons X.
Cette communication d’une culture cellulaire à l’autre indiquant que ces cellules restent reliées même à distance, les physiciens appellent ça l’intrication.
L’intrication, c’est le lien subtil qui lie des particules, des cellules ou des organismes qui ont été en contact intime à un moment donné et qui gardent ce contact intime même à une très grande distance.
Dans le même domaine, Cliff Baxter, un chercheur américain, dans son bureau de New York, a fait des expériences sur la muqueuse jugale de la bouche de certains de ses patients et d’un dentiste en particulier.
Il a cultivé les cellules de cette muqueuse et les a séparées à des distances qui allaient au départ de 10 mètres jusqu’à 12 kilomètres.
Et il a enregistré les modifications qui se faisaient dans la culture cellulaire au moment où il stimulait les récepteurs de la muqueuse jugale ou des récepteurs cutanés chez son patient.
L’expérience a chaque fois été concluante.
À chaque stimulation, la culture cellulaire, à quelque distance qu’elle se soit, enregistre exactement ce qui se passe chez le porteur qui lui a donné naissance, indiquant par là que le lien reste intime et défie la distance.
On peut donc commencer à comprendre qu’un lien très fort qui relie des êtres humains, par exemple une mère et son enfant, deux jumeaux, un lien d’amour très fort entre deux personnes, puisse permettre aux deux parties de ce couple de ressentir les mêmes choses, quelle que soit la distance qui les sépare.
Quelqu’un qui a cette disposition empathique et qui est capable de se mettre en résonance, même à distance avec quelqu’un d’autre, qu’il s’agisse d’un être cher, d’un enfant ou qu’il s’agisse d’un malade avec lequel le guérisseur est susceptible d’entrer en résonance profonde.
Ça permet de comprendre comment la résonance peut amener à un état de cohérence et de guérison possible par un transfert d’information qui passe toujours dans l’ultraviolet ou dans les gammes au-dessus de l’ultraviolet, dans des résonances de plus en plus subtiles.
Plus d'information sur le Dr. Fritz.A.Popp
Le Dr. Fritz Albert Popp a étudié la Physique à l’Université de Güttingen, Würzburg (RFA). Diplômé en Physique Expérimentale en 1967 (lauréat du Prix Röntgen) et agrégé de Radiologie en 1973. De 1973 à 1980, il enseigne comme Chargé de Cours à l’Université de Marbourg. De 1982 à 1986, il est chargé de recherches par le ministère de la Jeunesse, de la Famille et de la Santé de RFA à l’Université de Kaiserslautern (Département de Biologie Cellulaire).
Les découvertes du Dr. Fritz Albert Popp en matière de « communication cellulaire » via les émissions de biophotons sont mondialement connues. Il est l’auteur de nombreuses publications dans diverses revues scientifiques de réputation mondiale.
Il a dirigé pendant des années l’Institut International de Biophysique à Kaiserslautern où il s’est entouré d’une équipe de haut niveau scientifique. Il a poursuivit ses recherches tant sur le plan fondamental que sur un plan plus pratique (détermination de la réversibilité des tumeurs malignes par le biais de l’étude de la « mémoire photonique » des cellules en culture in vitro, évaluation des qualités nutritives des aliments etc…).
Des chercheurs du monde entier emboîtent aujourd’hui le pas à ses travaux. Fritz Albert Popp est également l’auteur d’autres ouvrages remarquables « Neue Horizonte in der Medizin » (Ed. Haug Verlag) et « Bericht an Bonn » (Ed. V.G.M.), « La Biologie de la Lumière, Bases scientifiques du rayonnement cellulaire ultra-faible », 3e édition, 240p. (2012), Editions Resurgence
L’auteur a travaillé presque toute sa carrière sur l’émission par les cellules vivantes de rayons électromagnétiques, sur la résonance entre les photons nés dans l’ADN, sur les liens entre la matière inerte et la matière vivante et sur la mémoire photonique et ses applications médicales.